Les enfants, les enfants !
Vivant sont leurs natures !
Si ont beaucoup yeux
Ou ne pas avant eux ?
C’est ne pas eux important !
Les enfants, les enfants !
Tourjours ils cherchent
Le joie de jeuer! Par le jeu !
Le joie par jeu! Pour le jouer !
Et c’est, par eux, assez !
Mais s’ils se soucient
Seulement en gagnant!
Après beaucoup de sueurs,
Ils hurlent et pleurent
De bonheur ou tristesse
(Comme les saisons de ans)!
Les enfants, les enfants !
Vivant sont leurs natures !
Les enfants, les enfants !
Que ont en nos coeurs
Et nos tristesses soient
Comme leurs pluies de été !
(Leandro Monteiro)
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